222 research outputs found

    Mission report in Tajikistan for ECOM LLC. August 19th to 27th, 2012

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    Coton : suivez le fil…

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    Quelles innovations au plan variétal ?

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    Le double constat i) de la baisse du nombre de nouvelles variétés crées en Afrique sub-saharienne et ii) du rôle que doit jouer la variété dans l'adaptation à un contexte en pleine évolution implique de redynamiser la création variétale cotonnière dans cette région. La priorité est a) de réfléchir collectivement aux nouveaux grands enjeux partagés dans l'ensemble de la région et b) de définir les grands idéotypes qui en découlent. Plusieurs actions peuvent être envisagées : relancer le catalogue des variétés de cotonniers pour mieux partager les innovations variétales, faire connaitre et partager de nouveaux critères et outils de sélection, favoriser l'émergence d'une création variétale en réseau pour mutualiser les moyens. (Texte intégral

    Proposition d'une stratégie détaillée de relance de la recherche cotonnière africaine au niveau technique. Rapport final

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    Le présent rapport " Proposition d'une stratégie détaillée de relance de la recherche cotonnière africaine au niveau technique " constitue la seconde partie de l'étude intitulée " État de la recherche cotonnière en Afrique : diagnostic et proposition d'une stratégie de relance ". Il fait suite à un premier rapport " Diagnostic et recommandations pour l'élaboration d'une proposition de stratégie de relance de la recherche cotonnière africaine ". Cette étude a été conduite dans le cadre du programme " Appui à la Consolidation du Cadre d'Action pour le Partenariat UE-Afrique sur le Coton ", sous forme d'une expertise court-terme, gérée par l'assistance technique / Unité de Gestion du Programme (AT / UGP). L'étude, organisée en cinq phases et conduite par deux consultants, a débuté en avril 2016 et a porté sur vingt-quatre pays africains producteurs de coton membres du groupe des pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique). Au plan méthodologique, elle a été conduite sous forme : i) De présentations de l'étude à la chaine de valeur coton africaine (Burkina Faso 04/2016, Bénin 05/2016) ii) De questionnaires adressés aux acteurs de la recherche cotonnière africaine ainsi qu'à leurs partenaires de la chaine de valeur coton, utilisateurs des résultats de la recherche iii) De quatre tournées circulaires dans douze pays cotonniers d'Afrique de l'Ouest, du Centre, de l'Est et Australe, durant lesquelles des réunions ont permis d'échanger avec les acteurs nationaux de la chaine de valeur coton iv) De restitutions des résultats de l'étude (Belgique 10/2016, Kenya et Burkina Faso 03/2017). Les deux consultants ont bénéficié de l'appui d'une cellule de suivi-validation de treize personnes constituées de responsables de la recherche cotonnière, d'utilisateurs (producteurs, sociétés cotonnières) et d'un expert. Cette cellule était chargée d'aider les consultants lors de leurs séjours de terrain ainsi que d'apporter ses commentaires sur les versions provisoires des deux rapports produits. Le diagnostic de la recherche cotonnière africaine a mis en évidence à la fois des spécificités et des convergences entre les programmes coton des Instituts Nationaux de Recherche Agricole ou Agronomique (INRA). Des différences sont par exemple notables au niveau de leurs sources de financement (publiques ou privées), de leur budget de fonctionnement annuel moyen et de leur nombre moyen de chercheurs. Mais globalement, au-delà de certains écarts extrêmes, le diagnostic souligne des insuffisances de ressources humaines (quantitatives et qualitatives) et financières (montant et pérennité), un statut des chercheurs moins attractif que celui des universitaires, l'absence de mesures incitatives pour la recherche cotonnière, la faiblesse des mécanismes collaboratifs entre partenaires, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur des frontières nationales, les besoins en équipements scientifiques, la faible visibilité des résultats de la recherche, une approche plus disciplinaire que thématique, mais avec des problématiques communes aux différents pays (perte de fertilité, changement climatique, gestion des ravageurs…). Ce diagnostic a conduit à formuler des recommandations pour améliorer les performances de la recherche cotonnière africaine. Ces recommandations portent sur la sécurisation et la continuité de l'activité des personnels scientifiques, sur la diversification et la pérennisation des ressources financières, sur le recentrage des thématiques pour faire face aux défis qui interpellent la recherche cotonnière et pour prendre en compte la demande sociale. L'un des défis est de parvenir à mutualiser les ressources (humaines, infrastructurelles, financières) par une approche plus globale des recherches (centres et dispositifs régionaux, projets et programmes régionaux, réseaux). A partir de ces éléments a été élaborée une proposition de stratégie détaillée de relance de la recherche cotonnière africaine au niveau technique, avec pour vision stratégique " Relancer la recherche cotonnière africaine et améliorer sa contribution à la durabilité de la culture, au revenu des producteurs et à la compétitivité de la chaine de valeur coton ". Elle s'articule autour de quatre objectifs stratégiques visant à renforcer les capacités de la recherche, à ajuster ses thématiques et ses outils pour une production durable, à la rendre plus efficiente au sein de la chaine de valeur coton et à mieux l'insérer dans la communauté scientifique mondiale. Ils sont déclinés selon les onze objectifs opérationnels suivants, eux-mêmes traduits en quarante-trois activités. (Résumé d'auteur

    Propriétés et performances comparées de 16 cultivars de Poacées (Saccharum sp. et Erianthus) en vue d'un usage énergétique

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    Une étude conduite à la Guadeloupe, dans le cadre du programme REBECCA, vise à établir l'intérêt agronomique, économique, environnemental et industriel d'une production de canne dédiée à un usage énergétique industriel. L'un des objectifs du programme est de disposer de matériel végétal présentant une teneur en eau et un pouvoir calorifique compatibles avec les exigences de rentabilité de l'agriculteur et de l'industriel. Une première sélection a permis de retenir 10 variétés issues de la collection du Cirad et 6 variétés introduites de Barbade. Ces variétés ont été testées dans trois dispositifs implantés en climat chaud et humide dans le sud de la Guadeloupe, en vierge, avec une pluviométrie relativement élevée. Ces trois dispositifs avaient en témoin commun la variété R579, très bien adaptée à la production sucrière locale. Les mesures faites à 8 et 12 mois étaient principalement la biomasse sèche totale, la teneur en eau et le rendement des tiges usinables, ainsi que le pouvoir calorifique inférieur du matériau sec (PCI), ramené à l'unité de surface (MJ/m²). Le rendement des tiges usinables du témoin R579 a été excellent, proche de 140 t/ha dès 8 mois et de 200 t/ha à 12 mois. Aucune des 16 variétés testées n'a dépassé ce rendement. Cependant, plusieurs d'entre elles ont été légèrement meilleures que le témoin pour le PCI de la matière sèche totale, l'humidité du végétal et la verse. Les trois meilleures variétés proviennent de Barbade avec des PCI de la matière sèche allant de 80 à 90 MJ/m² à 8 mois et de 120 à 140 MJ/m² à 12 mois. Deux autres variétés, issues de la collection du Cirad, possèdent également des propriétés intéressantes. L'étude doit se poursuivre en première repousse. Ces résultats permettent d'identifier les variétés à étudier de façon plus approfondie et de fournir des informations préliminaires utiles aux économistes, environnementalistes et industriels du programme REBECCA
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